
Depuis la restauration de l’ère Meiji (1868), une ambivalence s’est installée dans l’esprit des japonais, mêlant à la fois admiration et complexe vis-à-vis de l’Occident. Même sans parler de l’écrivain Mishima, qui, nourri de la culture occidentale, mit fin à ses jours par le rituel de seppuku (injustement connu sous le nom de harakiri), ce sentiment ambivalent sous-tend la culture japonaise moderne.
Beaucoup de japonaises ont visité Paris et le château de Versailles parce que c’est là que se déroule l’histoire de Lady...
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